Stéphane Mallarmé (1842-1898)


Stéphane MallarméEtienne Mallarmé dit plus communément Stéphane Mallarmé vécu une enfance mouvementée. Son existence est véritablement une expérience poétique voire spirituelle. Tel Charles Baudelaire, il voue un culte certain à Edgar Allan Poe. Très jeune il fut pris se passion pour la poésie et très vite il participa au Parnasse Contemporain avec par exemple son poème Brise Marine.

Dès 1862, il écrit sur le thème de la douleur et de l’inaccessible idéal. Mais ce n’est qu’en 1870 qu’un déclic se produit en lui et qu’il se consacre à une œuvre plus intime, proche de lui … On peut citer le poème Une Dentelle s’Abolit. D’autres œuvres lui valurent une reconnaissance certaine Hérodiade puis Les Noces d’Hérodiade, une sorte de drame poétique, L’Après-midi d’un faune (1876), Tombeaux et hommages, et bien évidement son recueil de poème Les Poésies de Stéphane Mallarmé (1887), Album de vers et de prose (1887), Livre, ou bien encore Un coup de dés jamais n’abolira le hasard (1897).

Il nous quitte en septembre de 1898… une grande partie de ses textes furent publiés post-mortem…

 

Si tu veux nous nous aimerons

« Si tu veux nous nous aimerons
Avec tes lèvres sans le dire
Cette rose ne l'interromps
Qu'à verser un silence pire
Jamais de chants ne lancent prompts
Le scintillement du sourire
Si tu veux nous nous aimerons
Avec tes lèvres sans le dire » […]

Apparition

 


AUTRE BIOGRAPHIE :

Biographie de MALLARMÉ

 

Dessin : Delphine Priet-Mahéo